Claveyson en Drôme
LE CLAVEYSONNAIS
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![]() Une Excursion Nocturne A SAINT-ANDÉOL COMMUNE DE CLAVEYSON CANTON DE SAINT-VALLIER PAR JOSEPH BORDAS VALENCE MDCCCLXXXVI A Monsieur l’Abbé Victor Barriol Curé de Saint-Andéol, commune de Claveyson, par Saint-Vallier (Drôme) Monsieur le Curé, Vous m'avez donné, dans une circonstance que je n'oublierai jamais, la plus gracieuse et la plus généreuse hospitalité. Cette circonstance même ayant inspiré cet opuscule, je regarde comme un devoir de reconnaissance, la dédicace que je vous adresse aujourd'hui. Vous voudrez bien l'accepter comme un intéressant souvenir. Daignez agréer, Monsieur le Curé, l'expression de mes sentiments les plus affectueux. JOSEPH BORDAS. Saint-Martin-d'Août, par Saint-Vallier (Drôme), 26 juillet 1886. UNE EXCURSION NOCTURNE A SAINT -ANDÉOL Commune de Claveyson (Drôme) par Membre de la. Société d'Archéologie et de Statistique Le mardi, vingt-deux mai mil huit cent quatre-vingt-trois,_ par une matinée ensoleillée, M. l'abbé Dorier, curé de Tersanne, M. l'abbé Desmeures, curé du Charaix, commune de St-Christophe-et-le-Laris, M. Jean Rebattet des Zaberts et votre très humble serviteur, nous partions de Saint-Martin-d'Août, à sept heures du matin. Notre intention était d'aller rendre une visite à M. l'abbé Meyzonnier, curé de Saint-Martin-d'Août, alors malade à Chanos-Curson, dans sa famille. Après avoir franchi, le long de la Combe Balmo, une descente rapide et toute bordée de plantes odoriférantes, où le thym se mêle à la sauge et au romarin, nous arrivons dans la Combe des Goutoules, toute semée d'arbres à l'ombre épaisse et d'une délicieuse fraîcheur, en été. Nous arrivons rapidement à la route de Vienne à Romans, vis à vis le pont de la Galaure. Cette route de Vienne à Romans nous conduit jusqu'au moulin, dit moulin de la Vermeille exploité par son propriétaire, M. Coulaud, originaire de Saint-Vallier, à travers une plaine resserrée entre la Galaure à l'ouest, et des coteaux sablonneux et couverts de pins à l'est ; des deux côtés de la route croissent des vignes et surtout des fourrages ; la route est elle-même bordée de mûriers. Avant de franchir le pont de la Vermeille, situé à côté du moulin de M. Coulaud, nous jetons un regard, toujours à l'est, sur le vallon de la Vermeille qui se déroule à nos yeux. Un rideau de peupliers, à tige élevée, se balance au vent sur les bords de ce ruisseau. Les coteaux de Saint-Avit ne tardent pas à se montrer à nos regards ; ils sont chargés de vignes, de mûriers et de pins qui ont fait place sur beaucoup de points à des genièvres et à des genets. Au milieu de ces coteaux et tout près de la route bordée de noyers, un coteau arrondi et tout couvert de pins, situé à l'est, attire notre attention. Ce coteau s'appelle la Garenne, sans doute parce qu'autrefois il était peuplé de lièvres et de lapins et d'autres gibiers qu'on venait y chasser ; malheureusement, ce n'en est plus de même aujourd'hui. Nous saluons en passant le village de Saint-Avit et la flèche élancée qui couronne le clocher de son église et qu'on aperçoit de loin, en laissant à gauche, et toujours à l'est, la nouvelle route qui va dans cette commune. Nous voilà dans une vaste plaine, appelée la Sibérie, ainsi nommée, parce que le vent du nord, en hiver, y produit un froid glacial dans cette région que rien n'abrite, mais où de belles plantations de vignes ont été faites, il y a quelques années. Notre coursier nous emporte vers la montée des Pissots, (nous ne savons trop à quelle origine attribuer ce mot). Nous discutons sur ce mot, lorsque M. l'abbé Dorier nous fait remarquer la vieille tour de Rattières et nous en donne la description. La vieille tour de Rattières, nous dit-il, est assise sur un point culminant, à quatre cents mètres environ d'altitude, depuis le XIII° siècle. C'est une tour octogone avec une fenêtre gothique du côté du midi et une cheminée bien conservée dans l'intérieur, tout est en pierre molasse taillée ; cette tour mesure environ quinze mètres de circonférence sur une hauteur de vingt-cinq mètres environ. Aucun toit ne la protège, les murs ont plus d'un mètre d'épaisseur ; au nord de la tour, on remarque un machicouli bien conservé, les fenêtres des étages supérieurs et la porte le sont beaucoup moins. On remarque aussi, près de la tour, au nord et à l'ouest, un reste de mur, provenant d'un ancien château, et une chapelle beaucoup plus ancienne que la tour, où l'on a trouvé de nombreux ossements, aujourd'hui convertie en grenier à foin et écurie. Tout près de la chapelle, qui paraît remonter au XIII° siècle, est un puits de cent pieds de profondeur, dépendant de la ferme appartenant et habitée par le sieur Fermond, de la tour. On prétend que Rattières tirerait son origine de Rattier, évêque de Véronne, exilé par l'empereur d'Allemagne, Frédéric II, dans le Xe siécle. Le château et la tour auraient ensuite passé aux seigneurs de Chateauneuf-de-Galaure et aux archevêques de Vienne, suzerains de ces seigneurs. Pendant cet entretien, nous franchissons la montée des Pissots, après avoir salué au passage le village de Rattières, son Eglise toute moderne et la maison de mon ami, Simplice Cheval, de la Fayardat, Bientôt, à travers des vignes et des bois de pins, situés sur les flancs de ces coteaux, où la route, par des montées et descentes successives et rapides, décrit de nombreux contours, nous découvrons et nous laissons, à l'est, la plaine sablonneuse et aride, qu'on appelle Champ-du-Puy et nous arrivons au quartier des Verrières, limite des cantons de Saint-Vallier et de Saint-Donat, et entrée de la vallée du Merdaret. Ce quartier des Verrières est ainsi appelé parce qu'au pied des bois de chênes et de pins qui le couronnent à l'ouest, sur des coteaux élevés, il aurait existé, à une époque déjà reculée, des verreries dans cet endroit. Il n'y a plus aujourd'hui que deux ou trois fermes, appartenant à divers propriétaires, dont une présente un certain cachet d'antiquité, elle appartenait autrefois a M. François Ithier, ancien notaire, ancien maire et ancien Juge de paix à Saint-Vallier. A une faible distance et des Verrières et de Saint-Donat, nous remarquons, toujours à l'est, le château de Collonge, dont le nom vient de deux mots latins (collum longunz), indiquant que ce château a été bâti non loin d'une longue suite de collines échelonnées. Ce château parait remonter au XIIIe siècle. Le ruisseau du Merdaret longe l'enceinte du château. Il est habité actuellement par M. Gilbert de Collonjon, ancien maire de Saint-Vallier, grand amateur d'antiquités et qui a su lui conserver son caractère antique et en faire un véritable musée. Autrefois, sur la route que nous suivons, route qui a succédé à un fort mauvais chemin, on remarquait dans les carrières de pierres s'étendant au nord-ouest, le long de cette route, un rocher creusé profondément en forme de four et qu'on appelait dans le pays, four des Bohémiens, parce que les mendiants, trimadeurs de toutes les nations, y faisaient cuire leur pain et leurs aliments, ou peut-être encore parce qu'on l'avait utilisé pour cet usage pendant le séjour des Autrichiens en 1815. On a découvert dans ces rochers de belles sources d'eau, qu'on a amenées à Saint-Donat par des conduits pratiqués le long de la route. Avant d'arriver à Saint-Donat, nous passons sous les murs du cimetière, considérablement agrandi depuis une vingtaine d'années. Nous adressons une prière pour les morts, en considérant que la vie est un chemin qui nous mène à l'éternité, les uns plus tôt, les autres plus tard, et nous rappelle l'œquo pulsat pede d'Horace, la mort frappe d'un pied indifférent ; en effet, la mort ne choisit pas ses victimes, et elle frappe aussi bien à la porte des palais qu'à celle des chaumières. Nous franchissons rapidement Saint-Donat, en donnant un regard à son antique église, assise sur le coteau qui domine la ville, et à son clocher monumental, restauré depuis quelques années. A un kilomètre plus loin, nous saluons la gigantesque croix de mission placée à l'embranchement de la route de Saint-Vallier à Saint-Donat et de la route de Saint-Donat à Tain ; nous prenons cette dernière route. Après une course d'environ dix kilomètres entre les prairies de l'herbasse et les coteaux de Marsas couronnés de vignes, nous arrivons sur le territoire de Chanos-Curson et nous nous rendons immédiatement à la maison de M. Meyzonnier, maison située à une certaine distance du village de Curson. Le plus cordial accueil nous est fait, quoique nous ne fussions pas attendus ; nous nous empressons auprès de notre digne curé, très souffrant à ce moment et qui nous reçoit avec beaucoup de sympathie. Nous passons quelques heures fort agréables auprès de lui et de sa famille ; puis nous songeons au retour. Arrivés à onze heures, nous repartons vers les cinq heures, mais en prenant une autre direction. Nous nous rendons d'abord à Clérieux, situé à trois kilomètres environ ; nous allons sonner à la porte du presbytère ; on nous répond que M. l'abbé Romestain, curé de la paroisse, est absent ; mais nous sommes introduits dans la cure, où nous faisons halte pour nous rafraîchir. De là, nous allons visiter la nouvelle église en construction ; cet édifice, à trois nefs a proportions assez vastes, reproduit, sur un moindre plan, la cathédrale de Valence. Nous remontons bientôt en voiture, nous dépassons l'usine à soie et les moulins à farine de M. Tiburce Cotte, avec leurs vastes jardins. Nous découvrons des promenades ombragées, le long de l'Herbasse, rivière que nous franchissons en contemplant les immenses prairies, propriété de M. le comte Paul de Chabrillan. habitant à Saint-Vallier. Cette famille possédait autrefois, à Clérieux, un château renversé par la révolution et dont il reste encore quelques ruines. Elle a conservé dans le pays une maison située à l'entrée du bourg et ombragée par des platanes d'une remarquable grosseur. Nous venons reprendre la route de Saint-Donat, par un chemin à travers les prairies émaillées de fleurs et les eaux se croisant en divers canaux et nous venons tomber à une fabrique de tuiles, située sur la route de Saint-Donat à l'embranchement d'une route de Clérieux à Marsas. Près de cette fabrique, on remarque une croix curieusement fabriquée avec diverses pièces de poterie ingénieusement disposées, ce qui ne manque pas d'attirer l'attention du passant. Nous traversons de nouveau Saint-Donat et nous voilà lancés de nouveau par les Verrières et une longue montée jusqu'à la descente des Pissots. Avant d'arriver à cette descente, sur un petit plateau à l'est, entre un ravin profond et la route à l'ouest, se trouve assise au pied d'un coteau et environnée de vignes, ce qui en rend l'effet plus pittoresque, la maison toute moderne de M. Cheval de Rattières, dit des Pissots ; cette maison, d'un magnifique aspect, est tournée au midi et complètement isolée, Arrivés au pied de la descente, soudain, M. l'abbé Des-maures se plaint à M. Jean Rebattet qu'une des quatre roues du véhicule grince, s'arrête et refuse son service ; force est de descendre, on se met à l'œuvre pour essayer de la mettre en mouvement, mais vains efforts, elle résiste et résiste encore … Spes delusa ! fâcheux contre-temps. Que faire en cette occurrence ? à dix heures du soir ?? sans lanternes ??? loin de toute habitation, au milieu d'un véritable désert de sable et de pins ?????... Horresco referens ! ! Après nous être consultés quelques instants, nous décidons d'aborder SAINT-ANDÉOL, localité la plus rapprochée et la plus à notre portée. Nous dételons le cheval, laissons la voiture sur place et nous remontons à pied la descente des Pissots, traînant notre cheval à notre suite. Nous enfilons ensuite un petit sentier au sud-ouest, sentier qui nous conduit à travers un ravin assez profond, vers un ancien chemin arrivant à Saint-Andéol au milieu des bois. Nous voilà, à onze heures du soir, à Saint-Andéol ; nous allons frapper à la porte toujours hospitalière de M. l'abbé Victor Barriol, curé de cette paroisse. Mais voici bien une autre affaire. La nièce de M. le curé Barriol, à qui d'abord on se borne à demander de l'huile de pieds de boeuf pour engraisser la roue, cause de tout notre malheur, ne comprend pas ce qu'on lui demande, ni qui lui parle ainsi : car nous n'étions en aucune façon annoncés. Elle appelle son oncle. L'oncle intervient, mais ni l'oncle ni la nièce ne veulent entendre aucune raison, et tous les deux croient à une mystification encore augmentée par l'obscurité de la nuit. Cette scène se passait à la petite porte du jardin qui donne accès dans le presbytère, et derrière les murs de ce jardin. M. le curé de Saint-Andéol avait beau nous prier de nous faire connaître, nous insistions sur notre demande d'huile de pieds de boeuf, tout en dissimulant nos personnes. Enfin, au bout de quelques instants, cette scène héroï comique se termine par des éclats de rire (jusque-là nous avions contrefait nos voix) et alors, avec honnêteté et politesse, comme il appartient à des gens bien élevés, nous présentons nos respectueux hommages à M. le curé et à sa nièce, à qui nous fîmes part de toutes nos aventures, bien loin de valoir celles de Calypso et de Télémaque. Nous sommes parfaitement accueillis ; copieux souper, bon vin et bon gîte nous remirent amplement de toutes nos fatigues. Le cheval trouva également son compte dans l'écurie du presbytère, où l'avoine et le foin lui furent largement distribués. Dès l'aurore, illuminant de ses feux l'antique église de Saint-Andéol et les coteaux d'alentour, nous nous empressons, avant de prendre congé de notre hôte si aimable et de sa gracieuse nièce, d'aller rendre visite à l'église, dont le portail fait face à la cure à l'est, et domine la cure à raison de sa situation. Cette église couronne, en effet, la crète d'un coteau marneux, de près de quatre cents mètres d'altitude ; elle était autrefois flanquée d'un couvent de Bénédictins, dont le presbytère est un reste. Ce couvent, contigu à l'église au nord, a été incendié par les protestants ; des débris ont été retrouvés de nos jours, dans des fouilles faites pour des réparations. Nous sommes tentés de croire que l'église de Saint-Andéol est un ancien temple romain, transformé en église gothique et agrandie dans le IXe siècle. Le chœur roman carolien, terminé par une belle abside romane en molasse de pays, nous parait remonter à cette époque. Le fronton de l'église et sa façade, ornés d'une porte gothique du XIIIe siècle, surmontée d'une rosace romane, appartenant à une époque plus ancienne, nous semble ou celui d'un temple païen, élevé avec les ruines de ce temple et d'après l'architecture romaine ; on voit encore sur un point de cette façade, au midi, une tête de bœuf sculptée sur une pierre et quoique bien effacée on y reconnaît le caractère romain. Le chœur, dont le côté nord, situé à gauche en entrant, est plus incliné que le côté droit, sans doute pour rappeler la mort de Notre-Seigneur Jésus-Christ sur sa croix (et inclinato Capite), est soutenu à l'intérieur par deux énormes piliers carrés, style roman carolien, et surmonté d'un dôme aussi en style roman du IXe siècle et d'un clocher carré bénédictin à deux étages ; de la même époque. Ce clocher, à raison de la situation élevée de l'Eglise (400 mètres), se voit de très loin. A l'intérieur de l'église, on remarque un maître-autel en bois du XVIIe siècle, finement sculpté et orné sur le milieu d'un bas relief représentant la Vierge des Douleurs, c'est un morceau plein d'expression. Le presbytère, ancienne dépendance du couvent, contient une galerie souterraine de vingt mètres environ de longueur, et conduisant à un puits très profond, creusé par les Bénédictins. On voit à l'entrée de cette galerie des murs fort anciens. Au midi, un énorme tilleul, d'une circonférence de cinq mètres, planté par Sully, ministre du bon roi Henri IV, ayant ombragé de nombreuses générations et les ombrageant encore à cause de son voisinage du cimetière qui entoure l'Eglise. Avant de quitter Saint-Andéol, nous remarquons à quelques pas du presbytère, au sud-est, près des nouvelles, écoles, une maison du XVIe siècle, très bien conservée et portant la date de 1545. M. l'abbé Dorier nous apprend que Saint-Andéol a donné naissance à M. l'abbé Caillet, oncle de M. le curé-archiprêtre actuel de Saint Paul-Trois-Châteaux, et lui-même vicaire-général de Grenoble, sous la Restauration. Nous quittons ce pays très accidenté, couronné par des coteaux boisés, où se rencontrent en abondance le pin, le chêne, le hêtre, le châtaignier, l'acacia, le noyer, le mûrier et la vigne qui donne un vin renommé, sans parler d'un gibier abondant et d'excellentes truffes noires. Le sol est marneux, semé de coquilles d'eau douce et contenant quelques carrières de molasse. Le pays est traversé par la nouvelle route de moyenne communication d'Andancette à Saint-Donat. Saint-Andéol compte quatre cents habitants environ et dépend de la commune de Claveyson à qui il est relié par la route dont nous venons de parler. Cette route arrive au village de Saint-Andéol et rejoint au dessous de ce village, au midi, un chemin se dirigeant de Saint-Andéol à Bren (canton de St-Donat). Ce chemin est dominé, à l'Ouest, par Un coteau le plus élévé du pays et qui porte le nom de Truchenaonteille et atteint cinq cents mètres d'altitude. Cette digression nous ramène à notre voiture, nous la retrouvons intacte avec sa roue GRIPPÉE. Désespérant de pouvoir l'emmener avec nous, nous la laissons sur place et nous nous remettons en marche, cheval en tête et devisant joyeusement le long du chemin. Nous arrivons heureusement au hameau de Charrières, d'où nous envoyons tout de suite, Maurice Bocage, charron de la localité, pour réparer notre voiture et la remettre en mouvement. Quelques heures après, elle nous était ramenée triomphalement, non pas par un superbe coursier, mais par un roussin d'Arcadie, se croyant encore très fier de traîner un véhicule, auquel il n'était accoutumé en aucune façon. Nous demandâmes à Maurice comment il avait pu dégager cette roue à patente, il nous répondit en riant : C'est simple, Messieurs, par exemple, c'est très simple, en chauffant la roue avec de la paille qu'on brûle au-dessous. Nous nous séparâmes au Chiry, heureux de notre voyage, et non moins fiers que si nous avions accompli le voyage comique à travers la France (de Chapelle et Bachaumont), sous Louis XIV. Cette relation, quoique bien moins intéressante que leur voyage raconté en prose mêlée de vers héroï-comiques et que le Voyage autour de ma chambre de Xavier de Maistre, ne sera néanmoins pas sans charme et sans intérêt pour le lecteur.
DU MÊME AUTEUR 1° Description de Beausemblant et de Creure, Boresse et Saint-Philibert qui en dépendent, canton de Saint-Vallier (Drôme). 2° Une Promenade â Bathernay, canton de Saint-Donat (Drôme). 3° Notice sur la Chapelle de Saint-Joseph-de-Vals, canton de St-Vallier (Drôme). Date de création : 12/06/2009 · 18:39 Réactions à cet article
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