Suite aux dégâts du 6 septembre 2008, la municipalité, après de longues et difficiles négociations avec les différentes administrations, a opté pour une remise en état des berges en préservant le milieu naturel de notre ruisseau.
L'enrochement, très coûteux et inesthétique a montré ses limites autour du pont de Bion.
Le syndicat interdépartemental du bassin de la Galaure a fait l'étude de faisabilité et a réalisé cette première tranche de travaux.